Kasaï Oriental : le candidat gouverneur Alidor Beya soutient les vulnérables via sa « fondation Beya Bulela »

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Le candidat gouverneur Alidor Beya Mulumba, président de la fondation Beya Bulela (FBB) a organisé un dîner de presse avec les responsables des médias de la ville de Mbujimayi ce jeudi 21 octobre dans un restaurant de la place. À l’occasion, il a présenté sa fondation qui existe depuis mars 2018 et qui oeuvre dans le social de la population et plus particulièrement dans le soutien des vulnérables.

Installée à Kinshasa, Kasaï Oriental, Kasaï Central, Goma, Lubumbashi et Butembo cette fondation prend en charge les frais scolaires d’environ 79 enfants sur toute l’étendue de la république et depuis 2019 qu’elle opère au Kasaï Oriental, elle prend en charge une vingtaine d’enfants à l’école primaire.

« Nous sommes là, c’est aller à l’aide vers les démunis…Les veuves et les orphelins sont là les priorités de la fondation », a fait savoir le candidat gouverneur. La fondation Beya Bulela va orienter les bénéficiaires dans les cultures vivrières dont les produits peuvent être vendus avec un pourcentage à rétrocéder à la fondation. « Le souci est de faire participer tout le monde« , a-t-il signalé avant d’ajouter « J’ai préféré faire cela avec ceux qui sont dans l’alimentaire, comme les mamans qui vendeuses qui ont du mal à supporter la scolarité de leurs enfants« .

Au sujet de sa candidature au gouvernorat de province, Alidor Beya Mulumba a dit sa détermination à bosser le développement du Kasaï Oriental. Il promet de changer l’image de la province dans les deux ans qui reste avant la fin du quinquennat. Au sujet des moyens, il note qu’il est possible d’en créer pour faire tourner l’administration et poser des actes à impact visible. Ce cadre de l’union pour la démocratie et le progrès social (UDPS) dit se servir des exemples d’autres gouverneurs qui se sont succédés à la tête du Kasaï Oriental, pour copier ce qui est bon et corriger les erreurs du passé.

« Même dans une année, on peut faire quelque chose. Un bon gestionnaire peut faire revenir les activités dans cette province. C’est possible de faire quelque chose dans les deux ans restants…Je ne ferai rien d’autres que ce que les Kasaïens réclament« , a-t-il déclaré à coulisses.net

Marc Valentin Kalcind