Kasaï oriental: le service de communication de la Miba déconstruit les discours calomnieux contre l’ADG Kabanda Kana

Kasaï oriental: le service de communication de la Miba déconstruit les discours calomnieux contre l’ADG Kabanda Kana
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L’Administrateur Directeur Général de la Minière de Bakwanga (MIBA S.A) fait l’objet d’accusations allant dans le sens d’entretenir et/ou d’organiser une mafia au sein de cette entreprise du portefeuille, oeuvrant dans la ville de Mbujimayi, chef-lieu de la province du Kasaï oriental. Face à ces accusations rendues publiques par le média en ligne L’intervieweur.cd, le service de communication de la Miba a éclairé la lanterne en apportant des éléments suffisants qui deconstruisent tous ces discours calomnieux du média qu’il qualifie d’une «caisse de résonnance des mensonges débités par les ennemis de la MIBA !». 

La grande accusation contre l’ADG André Kabanda Kana, relayée par L’intervieweur.cd dans son article publié le 07 juin dernier intitulé :“Scandale à la MIBA/le DG Kabanda démasqué, un voleur des diamants détecté dans ses dernières mises en place’’ !, c’est l’affirmation de ce média que le mandataire public précité a, dans ses mises en place au sein de la MIBA, nommé un certain Dan Kanda au stratégique poste de Chef de Service Classement, alors qu’il avait été selon ce confrère, licencié d’une part pour faute lourde [vol] à la MIBA et d’autre part révoqué de la société Anhui Congo d’Investissement Minier (SACIM) encore une fois pour vol. La nomination à ce poste, rapporte ce média, est une occasion pour le DG, d’organiser une «mafia» qui facilitera la soustraction des diamants de la production. 

Revenant sur tous ces faits, le service de communication de la société Minière de Bakwanga (MIBA SA) dénonce avec énergie ces allégations tendant à discréditer l’ADG de la MIBA. Il regrette « les faits mensongers et nuisibles rapportés par le média en ligne L’intervieweur.cd contre l’Administrateur Directeur Général, André Kabanda Kana et son agent, Kanda Dan, dans son article publié le 07 juin 2024 et intentionnellement non signé»

 « Cet article est, non seulement une opportunité pour les détracteurs de jeter du discrédit et de l’opprobre sur la personne de l »Administrateur Directeur Général,  André Kabanda Kana, mais aussi et surtout une démotivation contre l’idéologie de réforme stratégique par lui apportée afin de réactiver les activités de production…ce qui aurait pu être édifiant pour les lecteurs de ce média de nom, serait une démonstration du rapport entre une mise en place du personnel qui reste une manière, pour le Comité KABANDA, de ménager sa monture par le choix des personnes ressources, afin d’aller loin et vite sur le chemin ardu de la relance des activités et les calomnies portées à l’endroit de Dan Kanda !», renseigne le service de communication. 

Faux et usage de faux pour satisfaire l’instinct malveillant

Le service de communication de la MIBA démontre que les auteurs de ce coup raté à fin d’éteindre la lumière de la relance de cette entreprise, ont recouru au faux et usage de faux, en fabriquant une prétendue lettre de licenciement de Dan Kanda de la SACIM juste pour satisfaire leur instinct malveillant. Une pure masturbation intellectuelle qui a réquisitionné les ennemis tant internes qu’externes de la MIBA SA, qui ne ménagent aucun effort, pour passer le clair de leur temps «à jeter leur caca sur les autorités de cette Société, comme si ces rabachages suffisaient pour empêcher le train de la relance dirigé par le Comité André Kabanda!».

«…la lettre de licenciement lui attribuée est un faux document, un fac similé et une prouesse barbare d’une cybercriminalité qui ne dit pas son nom et dont seule la composante ‘’signataires’’ est vraie ; contraire du vrai document adressé à Dan Kanda par la SACIM. Celui qui a rapporté ces mensonges fait partie des personnes qui étaient réellement dans le tripatouillage du diamant dans la zone de haute sécurité et à la commercialisation du diamant, gênées autrefois par la rectitude de ce cadre victime d’abjecte calomnie !», révèle-t-il. 

Et de préciser

«Dan Kanda qu’on tente de salir au profit des intérêts égoïstes profitant à un groupuscule d’individus, n’a jamais écopé d’une sanction : ne serait-ce qu’un jour de mise à pied  et ou d’une action disciplinaire ouverte à sa charge. Il n’a  jamais été non plus sujet de licenciement à la MIBA. Par contre, pour avoir travaillé à la SACIM, il avait été victime de fausses interprétations dans la salle de nettoyage de diamants. Chose qui avait occasionné son retrait de l’effectif sans aucune traçabilité de vol».

Pour davantage éclairer l’opinion, ce service rapporte qu’au mois de mars 2017, «Kanda Dan avait sollicité une mise en disponibilité d’une année pour des raisons de convenance personnelle à dater du 13 mars 2017. Malheureusement, six mois après, la Direction Générale de la MIBA lui avait demandé d’interrompre cette mise en disponibilité pour réintégrer la société en date du 6 septembre 2017. Le 3 novembre de la même année, il a été  désigné comme Trieur au service Classement».

Diffamation contre les autorités de la MIBA : un coup d’épée dans l’eau face à la relance effective de la société

Le service de communication de la MIBA reste d’avis que le montage issu d’une officine sombre est mal orienté et a heureusement loupé son objectif, celui de jeter l’opprobre sur les personnes consciencieuses venues pour relever l’entreprise. 

«…il faut relever que le ridicule des diffamateurs internes et externes des autorités qui travaillent positivement en faveur de la cause de la MIBA, est dans ce qu’ils croient que leurs seuls mensonges vont stopper le train de la relance tracté par les dirigeants actuels de cette Société qui ont la confiance de l’ensemble du personnel. L’on comprend d’ailleurs les motivations au sein de ce média qui a exigé un montant de mille dollars, pour diffuser ce droit de réponse. La Direction Générale n’étant pas favorable à toute forme de corruption a rejeté cette offre délinquante à ce média, qui ignore que le droit de réponse est toujours publié gratis, par le média induit dans l’erreur et dans les mêmes colonnes !», dévoile le service de communication de la MIBA. 

Ce service appelle tous les médias dont celui qui a relayé les calomnies, à plus de professionnalisme, au respect de l’éthique et de la déontologie de la profession de journaliste, tout en précisant qu’à ce jour, seul l’ADG Kabanda Kana est  l’unique qui porte la vision du Président de la République, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, de revoir la MIBA se révéler et redevenir l’épine dorsale de l’économie du Kasaï oriental et par ricochet, l’une des entreprises sur lesquelles la RDC peut compter comme cela fut le cas dans les années 97 où cette entreprise du portefeuille a été la principale, dans le soutien des efforts de guerre. 

Rédaction

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