Kasaï oriental :  » sans la Belgique le Congo ne peut pas bien marcher  » Bavon Mbuyi

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La signature des textes d’intention pour la reprise des relations entre la Belgique et la république démocratique du Congo n’a pas laissé indifférents les acteurs politiques de la province du Kasaï oriental. Pour bavon Mbuyi député provincial UDPS, le réchauffement des relations entre les deux nations sont d’une grande utilité pour la RDC car sans la Belgique le Congo ne peut pas bien marcher.

« Aujourd’hui sans la Belgique le Congo ne peut pas bien marcher. C’est pour cela que nous disons que le réchauffement des relations seront d’un grand intérêt pour notre pays. Parce que la Belgique nous accompagnera partout. La politique internationale a ses aléas. Le réchauffement des relations entre la Belgique et le Congo sont d’une grande utilité pour le Congo démocratique parce que l’histoire du Congo et de la Belgique est conjointement liée » soutient-il.

Comparant la Belgique à Joseph, l’élu de Mbujimayi indique le colonisateur de la RDC a toujours fait un bon témoignage auprès de plusieurs institutions pour permettre à la RDC d’accéder aux financements comme Joseph l’avait fait en témoignant de la virginité de Marie.

« En termes de parrainage, c’est la Belgique qui, depuis la nuit de temps dans les relations multilatérales avec des institutions soit de breton wood et d’autres institutions s’est toujours mise à côté du Congo pour qu’il soit financé. En termes de budget d’investissement, le Congo démocratique a jusque là été soutenu à plus de 50% par d’autres pays. Cela vient souvent par le témoignage de la Belgique. Pour nous la Belgique est comme Joseph qui a servi de témoigne que Marie n’avait pas connu d’hommes » ajoute Bavon Mbuyi.

Optimiste quant aux retombées de cette visite du président Tshisekedi à Bruxelles, Bavon Mbuyi assure que  » bientôt vous allez voir le boom qui va se produire. Les investisseurs sont nombreux en route vers la RDC « 

La première visite du chef de l’État Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo au royaume de la Belgique a été considérée comme une grande première car il est allé prendre langue avec une nation qui n’a pas seulement contesté son élection comme président mais aussi qui avait coupé les contacts avec la RDC sous l’ère Joseph Kabila.

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