Kasaï oriental : la cellule de communication du candidat gouverneur David Mukeba recadre ses détracteurs

Kasaï oriental : la cellule de communication du candidat gouverneur David Mukeba recadre ses détracteurs
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Depuis qu’il s’est prononcé publiquement sur sa ferme volonté de servir la province du Kasaï oriental comme gouverneur en vue de son décollage, le conseiller principal du chef de l’État au collège infrastructures David Mukeba Kalengayi s’attire la foudre des politiques en perte de vitesse qui manipulent à bon escient la jeunesse dans les rues contre lui, moyennant des pièces sonnantes et trébuchantes.

Mukeba Kalengayi fait l’objet de jalousie et des critiques acerbes de la part de certains de ses concurrents dont sa cellule de communication estime être des personnes en quête de positionnement. Dans une mise au point faite ce mercredi 3 novembre, elle a ramassé point par point toutes les accusations, les faussetés, les incohérences, les imprécisions, les incongruités, les intox et bien d’autres hallucinations. De la gestion des infrastructures avec notamment le projet TSHILEJELU, à la gestion des infrastructures structurantes financées par le fonds de promotion de l’industrie (FPI), en passant par ses missions d’itinérance, tout est éclairé.

De la gestion du projet TSHILEJELU

Des langues disposées à ne dire que le mal, ne cessent de tirer à boulets rouges sur David Mukeba Kalengayi dans la gestion du projet présidentiel TSHILEJELU consistant à construire et moderniser 25 kilomètres de la voirie de Mbujimayi. Guidés par la haine, ils utilisent des sommes modiques pour soudoyer les jeunes affamés et vont jusqu’à s’inviter au débat des sujets techniques sans en avoir ni compétences ni la moindre expérience, cherchant des imperfections politiques imaginaires en celui qui est plébiscité par le sondage. Dans cette mise au point, il est rappelé d’abord que le projet TSHILEJELU est un partenariat public-privé, dont le mode de financement est bien déterminé, méconnu malheureusement des détracteurs de David Mukeba.

« Visé par leur acharnement jusqu’au recrutement des mouvements citoyens
pour une marche contre les projets d’infrastructures au bénéfice du Kasaï
Oriental, David MUKEBA est victime de sa maîtrise des infrastructures dont il
visite les travaux et surveille l’évolution pour le compte du Chef de l’Etat, ce qui
le fait passer abusivement, tantôt pour Ministre des Infrastructures, tantôt pour
Directeur Général de l’OVD, gestionnaires directs des projets. C’est Pourquoi, la cellule de communication du candidat gouverneur David MUKEBA renvoie les affabulateurs au contenu technique desdits projets et
leurs modes de financement dont la traçabilité est à rechercher dans un audit du Bureau Technique de Contrôle et de l’Inspection Générale des Finances
« , note la cellule de communication.

Et d’ajouter :

« Ce projet a été conclu dans le cadre d’un partenariat public-privé tel qu’annoncé par le Directeur Général de l’OVD indiquant le concours de la banque UBA pour faciliter l’obtention du crédit. Avec le Ministre des Infrastructures et Travaux Publics, maître d’ouvrage et l’OVD comme maître d’ouvrage délégué, le Projet TSHILEJELU connaît les répondants officiels dont découle toute responsabilité aussi bien technique, financière qu’administrative. En sa qualité de conseiller principal du chef de
l’Etat, David MUKEBA n’est ni gestionnaire de projet, de portefeuille ministériel
ou d’établissement public, ni exécutant pour répondre de la léthargie dans les
travaux. Mais formé au travail de terrain, ce fervent du patriotisme technique et
ingénieur de son état, se fait le devoir républicain de suivre tous les projets d’infrastructures lancés par le Chef de l’Etat afin de lui en faire un rapport précis
et éviter la gabegie financière connue avec l’ACGT dans « les 5 chantiers »,
« la révolution de la modernité » et récemment le programme de 100 jours, etc ».

De la gestion de construction des infrastructures structurantes

Un autre programme présidentiel est celui accéléré de lutte contre la pauvreté
et la réduction des inégalités qui consiste en la construction des infrastructures structurantes comme les écoles(Kalenda Mudishi, école primaire du 4 janvier, et une école à Mupompa), les hôpitaux(de la Muya et saint Jean-Baptiste de Kansele), etc. Ici encore, les mêmes politiques recherchent les pous sur la tête chauve de David Mukeba Kalengayi. Désigné par le chef de l’État comme point focal et facilitateur dudit programme, David Mukeba Kalengayi a effectué plusieurs voyages pour suivre l’état d’avancement de la mise en œuvre des orientations du Chef de l’Etat concernant les études des projets, le financement et les plans des approvisionnements du grand Kasaï des produits essentiels, les hôpitaux et les écoles, le financement du FPI a été effectif.

A l’issue de ses missions d’itinérance, le conseiller principal du président Tshisekedi au collège infrastructures et candidat gouverneur s’est assuré au nom de la présidence de la république, que les procédures dictées par le FPI ont été suivies par l’Exécutif provincial du Kasaï oriental, les Agences Locales d’Exécution, les entreprises retenues, acteurs majeurs de la mise en exécution du projet et de son financement. En sa qualité de l’oeil du chef de l’État, il s’est assuré préalablement de l’existence des sites, des entreprises d’exécution et du financement pour l’effectivité dudit Programme.

Au sujet du coût (14 millions de dollars américains) et de la qualité des infrastructures retenues dans le financement du FPI, la cellule de communication du candidat gouverneur David Mukeba précise que « le mécanisme de la redevabilité et de contrôle citoyen ne
peuvent être empêchés pour obtenir une traçabilité fiable. A ce sujet, pour éviter les conséquences connues dans le programme de 100 jours, David Mukeba a toujours plaidé en faveur du BTC et aujourd’hui l’IGF pour prévenir contre les dérapages susceptibles d’être constatés
« .

Pour la cellule de communication, « David MUKEBA est une chance à la tête de
la province du Kasaï Oriental en attente d’un travail technique et non des discours politique vide »
que véhicule certains politiques qui trouvent en lui un candidat de taille, qui les étouffe dans la course au gouvernorat de province.

Marc Valentin Kalcind

Rédaction

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