Assemblée nationale : quand le soleil de vérité brille sur les calomnies portées contre le Professeur Jean-Claude Tshilumbayi
Dans un climat politique où la désinformation semble devenir monnaie courante, le Professeur Jean-Claude Tshilumbayi, premier vice-président de l’Assemblée nationale, se retrouve au cœur d’une tempête médiatique qui ne dit pas son nom. Victime d’une campagne de diabolisation orchestrée par ceux qui s’opposent à la vision du Chef de l’État Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, qu’il défend avec honneur, il est impératif de rétablir la vérité face aux accusations infondées qui circulent sur les réseaux sociaux.
Les allégations récentes concernant l’implication de son épouse dans le fonctionnement de son bureau sont non seulement sans fondement, mais elles révèlent également une stratégie malveillante et diabolique visant à ternir l’image d’un homme d’État respecté. En tant qu’expert en droit et en administration publique, le Professeur Tshilumbayi a toujours su faire preuve de rigueur et d’intégrité dans l’exercice de ses fonctions. Son épouse et lui, ne peuvent nullement s’adonner à ce qu’écrivent les médias de la basse cour qui font la presse du ventre.
Les insinuations selon lesquelles il serait influencé par sa femme ou qu’il négligerait les principes de gouvernance au profit d’intérêts privés sont donc non seulement dégradantes, mais également contraires à la réalité. Elles sont conçues dans des officines politiques, au prix des pièces sonnantes et trébuchantes pour satisfaire les apétits mesquins de certains politiciens.
Il est capital de rappeler que le rôle d’un vice-président de l’Assemblée nationale ne se limite pas à un poste isolé; il s’agit d’une fonction qui engage des responsabilités envers les citoyens et les institutions. Les accusations portées contre lui semblent davantage motivées par des rivalités politiques que par un souci sincère du bien commun. Des obsédés du mal, des politiques véreux, se servent de billets verts pour privatiser certains hommes des médias pour faire fonctionner leur laboratoire obscure, n’ayant pour but que de nuire.
En insinuant que sa femme aurait chassé les femmes membres du cabinet, l’article en question qui illustre bien la réalité d’une plume financée, ne fait que refléter une volonté de diviser, qui caractérise les détracteurs du premier Vice-président de la chambre basse du Parlement. Face à ce mensonge cousu des toutes pièces, le Professeur Jean-Claude Tshilumbayi mérite le respect non seulement pour son parcours académique impressionnant, mais aussi pour son engagement indéfectible envers les valeurs démocratiques.
Il est temps que l’opinion publique apprenne à distinguer la vérité des mensonges et à soutenir ceux qui œuvrent véritablement pour le progrès collectif. La diffamation ne devrait jamais avoir sa place dans le débat public, et il est essentiel que chacun prenne conscience des conséquences néfastes qu’elle peut engendrer. Il est aussi important de rester vigilant face aux tentatives de manipulation médiatique dont se servent les détracteurs du professeur Jean-Claude Tshilumbayi, qui sont à la recherche d’un positionnement politique.
Chantal KABASUA